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SEP (Sclérose en plaque)

La sclérose en plaques est une maladie inflammatoire du système nerveux central. On la désigne sous l'acronyme SEP en France.
La cible du processus pathologique est la myéline, gaine protectrice des fibres nerveuses. Elle est le siège de phénomènes d'inflammation/détérioration puis réparation, dans des lésions qualifiées de  « plaques », disséminées au sein du système nerveux central.

La myéline permet d'accélérer la transmission des informations entre le cerveau et les autres parties du corps.
En France, la maladie touche 90 000 personnes et 2 000 nouveaux cas sont recensés par an.
C'est une maladie de l'adulte jeune dont l'âge de début est compris entre 20 et 35 ans dans trois quarts des cas. La SEP est rare chez l'enfant de moins de 10 ans et exceptionnelle après 60 ans.
Il existe une prépondérance féminine : plus de deux femmes sont atteintes pour un homme. Cependant, lorsque le début de la maladie est tardif, après 40 ans, cette proportion s'équilibre.
La SEP est dit «  une maladie auto-immune plurifactorielle ».

Facteurs génétiques
20 gènes potentiellement impliqués = maladie polygénique
Sexe féminin davantage touché (pas de poussées pendant la grossesse, stabilisation après la ménopause)
Baisse héréditaire de la GPX
Pour Catherine KOUSMINE, la SEP apparaît toujours après d’autres maladies dégénératives (cancer) chez les ascendants :
« Dégénérescence de l’espèce ».

Facteurs infectieux
Une infection virale contractée durant l’enfance (virus de la rougeole, virus Epstein-Barr (EBV), virus de l’herpès, etc.) pourrait être impliquée.
Des facteurs alimentaires
Plusieurs aliments sont incriminés :
  • Les graisses trans et les AGS
  • Les produits raffinés
  • Le gluten, les produits laitiers et l’abus de viande
  • Les modes de cuisson
  • ​Un déficit en vitamine D pourrait également contribuer au déclenchement de la maladie.

Facteurs toxiques
  • Une intoxication aux métaux lourds peut être suspectée dans la SEP.
  • Amalgames dentaires
  • Vaccins
  • Médicaments (antiacide type Maalox)
  • Alimentation (poissons, végétaux et intrants)
  • Pollution et incinérateurs
  • Ustensiles de cuisine et emballage
  • Déodorants

Facteurs émotionnels

  • Importance du stress dans l’apparition d’une SEP :
  • Par perturbation du microbiote intestinal
  • Par augmentation de la sécrétion d’INF ɣ (action sur les jonctions serrées)
  • Atteinte motrice dans 40% des cas

Les signes :
  • Faiblesse musculaire d'intensité variable, au niveau d'un membre ou d'un segment de membre, d'une moitié du corps ou des deux membres inférieurs.
  • Raideur dans les membres, accompagnée de crampes et de contractures musculaires. Cette raideur est parfois utile car, en compensant le déficit musculaire, elle améliore la station debout et la marche.
  • Paralysies

A l’examen, on retrouve des signes de syndrome pyramidal  (le syndrome pyramidal est constitué de l'ensemble des symptômes et signes cliniques dus à une atteinte de la partie centrale de la voie pyramidale  = support de la motricité volontaire).
Une spasticité des réflexes exagérés au niveau des membres inférieurs
La présence d'un signe de Babinski une abolition des réflexes cutanés abdominaux.
À l'issue de la poussée, le signe de Babinski reste souvent comme séquelle.

Atteinte sensitive dans 1/3 des cas
Les signes :
Diminution de la sensibilité : hypoesthésie
Abolition de la sensibilité : anesthésie
Perception de sensations anormales : paresthésie (impression de ruissellement, de peau cartonnée, de picotements ou de fourmillements, de striction, de douleurs ou de brûlures) 
A l’examen
Diminution ou perte de la sensibilité au chaud, au froid, au toucher, à la piqûre, à la douleur dans certaines régions du corps.
Atteinte visuelle dans 1/3 des cas
Les signes :
Par atteinte du nerf optique
Baisse de l’acuité visuelle d’un œil, habituellement douloureuse lors des mouvements oculaires.
Ce symptôme traduit l'apparition d'une névrite optique rétrobulbaire
Cécité Scotome (tache aveugle dans le champ visuel)
Par atteinte des nerfs crâniens
Diplopie (vision double)

Troubles de l’équilibre
Les signes :
  • Instabilité à la marche et/ou à la station debout avec une  impression d'ébriété, une sensation de se déplacer  « comme un homme saoul »
  • Troubles de la coordination des mouvements qui sont alors  malhabiles et moins précis, vertiges ou à un tremblement. Ces symptômes sont en général liés à une atteinte du cervelet ou du tronc cérébral
  • Troubles urinaires, très fréquents tout au long de l'évolution de la SEP


Signes irritatifs : urgences urinaires, incontinence, nombre de mictions anormalement élevé le jour et parfois la nuit, faux besoins = hyperactivité des muscles impliqués dans la vidange de la vessie
Signes obstructifs : délai à l'initiation du jet, nécessité de pousser, faiblesse ou interruption du jet = difficultés de relâchement du sphincter de la vessie.
Ces troubles peuvent être responsables de complications :
Incontinence, infections des voies urinaires basses ou hautes, altération de la paroi vésicale ou des voies urinaires.

Troubles sexuels
Ce sont des troubles fréquents, mais sous-estimés dans une affection qui touche préférentiellement les adultes jeunes, pendant la période la plus active de leur vie sexuelle et de leur fertilité.
Fréquence des troubles sexuels chez l'homme = 70% des cas
Troubles de l'érection et parfois de l’éjaculation
Baisse de la libido  → problème de fer
Atteinte  de l’état général
L’asthénie est un symptôme fréquent de la sclérose en plaques et parfois celui qui est le plus invalidant.

Troubles psychiques
Dysthymie (trouble de l'humeur) plus ou moins marquée et fréquente (irritabilité, agressivité)
Anxiété sous-jacente engendrée par l'incertitude de la maladie
Dépression dans près de la moitié des cas Troubles divers
Difficultés d’élocution
Troubles de la déglutition
Constipation

Troubles de la mémoire, de la concentration
Évolution imprévisible : ni le nombre de poussées, ni le type d’atteinte, ni l’âge du diagnostic ne permettent de prévoir ou d’envisager l’avenir de la personne qui en est atteinte.
Il existe des formes bénignes qui n’entraînent aucune difficulté physique, même après 10 ans ou 20 ans de maladie.
D’autres formes peuvent évoluer rapidement et être plus invalidantes.
Enfin, certaines personnes n’ont qu’une seule poussée dans toute leur vie.
L’espérance de vie des personnes atteintes de sclérose en plaques n’est pas réduite de façon significative
(rares sont les décès, souvent dus à une infection causée par les problèmes qu'engendre la maladie).

La prise en charge de la SEP repose sur trois types de traitements :
  • Le traitement de la poussée
  • Les traitements de fond
  • Les traitements symptomatiques

L’hygiène de vie
  • Importance du repos et du sommeil
  • Importance d’une activité physique quotidienne
  • Soleil quotidien si possible
  • Gestion du stress (cohérence cardiaque, yoga)
  • Activités favorisant la création
  • Séances d’ostéopathie crânienne (+++ en début de crise)
  • Développement personnel (SEL  Dr Olivier SOULIER)
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